Froidevaux Dominique
Sculpteur jurassien né en 1944
Sculpture en cuivre - 1977
Pièce unique - signée sur le métal "DF 77"
Largeur : 100 cm
Hauteur: 80 cm
Profondeur : 24 cm
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Dominique Froidevaux (1944)
Originaire du Noirmont. Né à La Chaux-de-Fonds en 1944 (canton de Neuchâtel).
Peintre et sculpteur, on lui doit les vitraux de la chapelle de l'Hôpital de Saignelégier et ceux de l'église de Chevenez.
Il se consacre exclusivement à la sculpture depuis 1970 et remporte de nombreux concours à La Chaux-de-Fonds, Lausanne, Porrentruy, Vennes (VD) et Delémont
Nombreuses expositions, en Suisse romande, en Suisse alémanique et en France.
Il a créé et réalisé l'aménagement du choeur de l'église de Chevenez dans le canton du Jura.
C’est à la Galerie du Port, à Rolle, que Dominique Froidevaux commence sa carrière d’artiste par une belle exposition où les sculptures, essentiellement en bois, auront d’emblée la faveur du public.
Photographe de formation, travaillant comme cameraman à la télévision (1959-1966), Dominique Froidevaux rêve depuis son enfance d’être artiste et de vivre de sa production.
Grâce au succès de ses première expositions l’artiste fait l’acquisition en 1972 d’une ancienne ferme dans le canton du Jura et s’y établit. La grange est aussitôt convertie en atelier, équipée d’une petite forge et de tout le matériel nécessaire à la création.
Enthousiaste et prêt à relever tous les défis, il participe à de nombreux concours organisés par les collectivités publiques.
Souvent ses maquettes de sculptures monumentales sont primées et de nombreuses créations voient ainsi le jour.
Lausanne, Neuchâtel, Delémont ou Porrentruy entre autres, lui offrent des opportunités qu’il saisit avec ardeur, dans une volonté de renouvellement permanent.
Ses sculptures de moyenne taille sont le plus souvent en cuivre, d’une patine remarquable.
C’est dans les volumes en acier Corten, puis en acier inoxydable qu’il trouve le meilleur équilibre pour ses œuvres monumentales.
Autodidacte, Dominique Froidevaux maîtrise les techniques les plus complexes et ne cède jamais à la facilité ni à aucune mode. Travailleur infatigable, authentique, perfectionniste en tous points, il crée des œuvres torturées, pourtant issues de croquis nombreux et réfléchis.
La couleur et la lumière sont des composantes subtiles de ses créations.
Peinte, la tôle devient quelque rutilant métal, comme le bois d’ailleurs, qui dégage soudain une parenté inattendue avec l’ivoire.
De nombreuses cités romandes ont eu le privilège de l’accueillir, mais aussi Bâle, Zurich, Monaco ou Paris.